Rateliers

Le garde, posté devant un petit cabanon de bois massif, vous montre l'un des rateliers de la main.

"Les étrangers armés ne sont pas tolérés dans l'enceinte du campement. Merci de bien vouloir déposer vos armes ici... ou de repartir au plus vite."

Il semble ne pas plaisanter avec le règlement... à vous de prendre votre décision.

HRP / Ici vous pouvez écrire un petit texte RP vous montrant en train de déposer votre arme tout en décrivant celle-ci, voire même adjoindre une illustration (sans abuser au niveau des dimensions, merci).
Faites-vous plaisir Smile

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

Kuen s'approche, il tire son Katana, le pose dans un coin, il regard autour de lui . . .

Puis dit dans un soupir :

Bon, on va la jouer réglo . . .

Il sort alors le Wakizashi caché sous son kimono et le pose près du Katana, il se dirrige vers le centre du campement d'un air décidé . . .

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

L'ange reprend ces armes en vitesse et repart d'un pas décidé vers l'entrée du campement . . .

Bien puisqu'il faut laisser son arme au ratelier voici la mienne.

Claudius dépose une belle lame a 2 mains qui semble avoir déjà bien vécu.

En revanche je suis désolé mais je ne peux vous fournir mon arme véritable car elle n'est pas vraiment matériel.

Alors que la garde semble ne pas comprendre, Claudius ferme les yeux, écarte légèrement les mains et se mets à incanter des paroles incompréhensibles. Ses mains commencent à bleuirent alors qu'un arc électrique claquent entre elles. C'est alors que deux lames noires comme une nuit sans lune se matérialisent dans chacune des mains de Claudius. (Une version à lui de l'Akkad Zahieff dont il n'est pas peu fier.)

Après avoir esquissé une attaque puis une parade dans les airs, Claudius ouvre grand les paumes et fait disparaitre les lames

Donc a moins que je ne te laisse mes mains je conserverais mes armes les plus puissantes.

Le garde observa la scène en demeurant impassible, un léger froncement de sourcils traduisant cependant sa surprise.
Il répondit alors :

"Je n'irai pas jusqu'à vous déposséder de vos mains, ange Claudius. Mais croyez bien que s'il m'arrive le moindre écho d'un usage intempestif de ces lames noires à l'intérieur du campement, je me ferai un devoir de vous les ôter de quelque façon que ce soit..."

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

. . .

L'angèle observe le garde de haut en bas après qu'il l'eut interpelée.

Mon arme ?

Devant le hochement de tête décidé de ce gardien, elle finit par lui adresser un franc sourire, révèlant ses deux canines proéminentes, d'un air joueur.

Vous êtes dentiste ?

Devant l'apparition des canines de Mélinda, le Garde se fend d'un rapide mouvement de recul durant lequel jaillissent dans ses mains ses deux imposantes lames. Il se met en position de combat, et apostrophe l'inconnue :

"Arrière créature du Mal ! Vous n'êtes pas la bienvenue en ces lieux, et je m'en vais vous le faire comprendre !!!"

Il demeure ensuite immobile, semblant prêt à lancer son attaque à tout instant...

Lame de Judith Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 23/01/2006

Rossignol se baladait, un peu désoeuvré, lorsqu'il aperçut au loin les silouhettes familières du garde et de la Régente de la Sainte Inquisition.

Alors qu'il s'approchait assez pour entendre la réflexion de Mélinda, il haussa un sourcil devant la réaction du garde.

S'avançant tranquillement, il prend place entre les deux individus, le plus naturellement du monde, ignorant les armes brandis par le garde, et salue Melinda d'une légère révérence avant de lui sourire d'un air amical.

Se retournant vers le garde, il lui adresse un froncement de sourcil réprobateur.

Mélinda salue Rossignol d'un hochement de tête respectueux, son sourire amusé ne quittant pas ses lèvres.

Vous avez de très bons gardes. Ne le blâmez pas, cette situation ne m'est que trop familière.

L'angèle se décale d'un mouvement preste, pose une main sûre sur l'un des avant-bras du garde, tandis que de l'autre, elle sort son blason, qu'elle lui présente.

Je suis la Régente de la Sainte-Inquisition, Monsieur. Pardonnez-moi, je n'ai pas vraiment l'apparence de mes frères...

L'angèle reprend son air calme et grave. La surface de son regard vert émeraude pailleté d'or semble devenir aussi liquide et brillant que la surface d'une mer sous le soleil, alors qu'elle conclut.

Mais sachez que je suis ici en paix, et que je vous promets que je n'userai pas de mes armes.

Le garde se remémore alors avoir déjà vu un tel regard.

Celui de l'Archange Judith lui-même, d'aussi loin qu'il se souvienne.

Et plus récemment, celui de Wedge a pris une teinte similaire, il l'a remarqué lorsque ce dernier revenait au campement.

L'angèle qui se tient devant lui ôte alors délicatement sa main de son avant-bras, et semble attendre sa réaction, penchant légèrement la tête sur le côté.

D'abord surpris par l'intervention de Rossignol, l'homme sembla ensuite profondément destabilisé par l'attitude de l'ange vis-à-vis de la nouvelle venue. Toutes sortes d'interrogations lui traversèrent l'esprit : Se connaissaient-ils ? Rossignol était-il en fait un espion infiltré pour le compte des forces du Mal ? Allaient-ils tous deux tenter de forcer le passage ? Pourrait-il contenir leurs assauts à lui seul ?
Une goutte de sueur perla sur sa tempe, tandis que ses yeux dévisageaient tour à tour ceux qu'il pensait être ses adversaires.
Tenir... il lui faudrait tenir en attendant que Vincent revienne de sa tournée d'inspection... à deux contre deux, le combat serait dès lors plus équilibré... mais tiendrait-il jusque là ?
Ses doigts se serrèrent un peu plus encore contre les gardes de ses armes, tandis qu'il adoptait une position défensive, plus appropriée à un combat en infériorité numérique.

C'est alors que contre toute attente, l'inconnue aux canines effilées se présenta face à lui, sans la moindre once d'agressivité apparente. Au contraire, une grande douceur semblait émaner d'elle, laissant le garde sans réaction, ne sachant plus quelle attitude adopter face à ce paradoxe incarné.
Il ne put contenir un léger mouvement de recul lorsque la main de la sombre femme se dirigea vers son avant-bras, mais ce mouvement s'interrompit net au contact de ses doigts froids et apaisants.
Les yeux écarquillés, son visage trahissant l'incertitude qui l'avait gagné, le garde demeura comme paralysé, ensorcelé par l'être d'ombre et de lumière qui se présentait devant lui.

Un sentiment d'effroi le gagna à l'écoute de celle qui s'avérait en fait être la Régente de la Sainte-Inquisition. Ces yeux... oui ces yeux, il les avait déjà vus... sur Wedge... elle avait raison... comment ? Comment avait-il pu ne pas comprendre ? Comment avait-il pu commettre une telle erreur ?
Tétanisé, l'homme lacha prise sur ses deux lames qui vinrent se planter au sol.
Lorsque la main de la Régente quitta son avant-bras, il s'agenouilla devant elle, la tête basse en signe de profond respect... et de profond pardon.

"Je... je suis sincèrement désolé, Régente Sémohty. Pardonnez le zèle d'un garde dévoué tout entier à la tâche qui lui a été confiée. Je me soumets à votre jugement, appliquez sur ma personne le châtiment qui vous paraitra le plus approprié à un tel affront..."

Relevez-vous...

L'angèle croise les bras, avant de poursuivre.

Je ne compte pas appliquer de châtiment, vous n'avez pas à avoir si peur de vote méprise. Vous avez fait votre travail, seulement c'est bien la première fois qu'on me demande de déposer mes armes... J'ai improvisé, un peu maladroitement, j'en conviens.

Un haussement de sourcil plus tard...

A l'avenir, ne jugez pas un livre à sa couverture. Il existe également des démons à l'aspect angélique, croyez-moi, c'est à s'y méprendre...

Percevez les auras, elles trahissent ces personnes.

Un voile passe furtivement sur ses traits, le temps d'une pensée bien vite envolée. Elle hoche la tête en direction du garde, concluant.

Je vais vous laisser. Non pas que le temps me soit denrée rare, mais la nuit approche. N'oubliez pas ce que je vous ai dit...

Bonne soirée, Monsieur.

Elle se tourne vers Rossignol, incline légèrement la tête, apercevant un autre garde derrière lui, qui semble être une sorte de videur de discothèque... ou d'entreur, selon le point de vue.

Après avoir lancé un "Suivant... !", elle se dirige vers ce dernier, en prenant bien soin de ne pas se laisser embarquer dans des pensées qui pourraient la faire sourire... Question de sécurité.

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

Kuen comence à poser son katana, il ne fait aucune remarque et ne regarde pas Mélinda Sémohty, en souriant il dit à Angia :

Si il faut poser les armes faisons le . . .

Il sort son Wakizashi caché sous son Kimono et le place à coté de son arme principale . . .

Le second garde parait déjà informé de la situation lorsque la Régente se présente devant lui. Il s'incline respectueusement à son intention, en lui indiquant l'entrée du campement d'un bras tendu :

"Régente Sémohty, c'est un honneur de vous recevoir. Vous pouvez entrer. Par ici je vous prie..."

Puis, constatant l'arrivée de Kuen et d'Angia :

"Vous voilà donc ! Allez-y, et bonne chance pour votre entretien."

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 06/03/2006

Angia regard autour d'elle. Sourit au garde qui vient de parler. Elle pose son katana avec un peu de tristesse.
Puis elle se tourne vers Kuen intimidée par le lieu.

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

Kuen sourit et dit au garde :

J'aime bien les entretiens, mais c'est moi qui les fais d'habitude . . .

Se tournant vers Angia il dit :

Allons y ma belle !

Les deux anges s'éloignent et entre dans le camps . . .

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 13/02/2006

Kuen arrive d'un pas hésitant, visiblement souffrant, sans un mot Angia prend les armes des deus samouraïs et tout les deux se dirrigent vers la sortie en silence . . .

Lame de Judith Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 18/04/2006

Audri arriva silencieusement en ce lieu ou il lui fallait laisser sa fidèle lame qui l'avait tant servie

Je reviens attends moi et reste silencieuse s'il te plait

Sinople regarda le ratelier, pensant qu'il devait faire comme tout le monde...

Soit ! Esquissa-t-il

Il posa sa longue épée à coté du ratelier, celle-ci étant trop grande pour ce dernier.
Il l'avait acquis il y a peu de temps, mais l'ange avait l'impression de la posséder depuis toujours... Elle est d'une taille hors du commun et impose le respect, il en émane une chaleur divine presque magique.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 02/05/2006

Tzaleth s'approcha. Jeune ange à peine incarné, il semblait bien peu à sa place près des promontoires rocheux ceignant le campement des Lames.

Tout ange expérimenté lui aurait conseillé, avec un regard paternel, de se diriger vers un front d'entraînement. Sa tunique était neuve, quoi que portant déjà la marque de coups infligés par des humains. Ils l'avaient attaqué dès sa naissance, il s'était défendu.

Il s'agenouilla pour déposer sa faible épée en fer, ô combien commune. Et si quelqu'un lui avait alors prêté de l'attention, ce quelqu'un aurait pu remarquer deux détails troublants dans le tableau apparemment si lisse du jeune Tzaleth: une petite amulette qu'il portait autour de son cou, à l'éclat vert terni, et qui semblait avoir vécu bien des années... et le gris-bleu, comme le mariage du métal et de l'eau, qui habitait ses yeux et lui donnait un air de détermination surprenant pour son âge.

Tzaleth (101 257)

Un ange à la longue cape sombre âbimée se présenta silencieusement face au jeune ange agenouillé. Il le dévisagea longuement de son regard d'émeraude pailleté d'or... un regard là aussi peu commun, que certains auraient juré avoir observé chez une autre entité céleste, pourtant bien plus puissante.

Le sombre combattant d'Eden s'adressa alors à l'angelot :

"Relève-toi donc, vaillant serviteur du Très-Haut. Car ici nulle ancienneté au sein des rangs célestes n'prévaut : seules la sagesse, le courage et la dévotion recueillent notre considération.
Et il m'est avis que tu n'manques d'aucun d'ces trois traits de personnalité...

A qui ai-je donc l'honneur de parler, mon jeune ami ?"

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 02/05/2006

Tzaleth se releva doucement, grimaçant du fait de ses blessures... La douleur lui fit fermer les yeux quelques secondes. Qu'il haïssait se sentir faible! Qu'il détestait mourir sous les coups d'humains brigands, avides d'or!

Il plonga son regard dans celui de l'ange qui se tenait devant lui, et dontl es yeux verts paraissaient curieux et en même temps surpris. Un guerrier...

Il sentit l'amulette qu'il tenait autour du cou tiédir, et il entendit dans sa tête une voix qui piaffait d'impatience: "Oui, un guerrier, oui, parle-lui, il est comme toi! C'est à lui que tu dois parler!"

Tzaleth prit doucement l'amulette dans sa main, comme pour rassurer un enfant trop pressé.

Bonjour, ange guerrier. A toi, je puis dire qui je suis. Mon enveloppe charnelle est celle de Tzaleth, et mon âme celle de Zabkiel, ange des flammes du premier âge, ex Leader des Capitaines de l'Ouest, compagnon de Serval de d'Archéon.

La déesse Ariaké m'a réincarné dans ce corps, et m'a donné cette amulette, dans laquelle résident son esprit et celui de tous les Capitaines de l'Ouest.

Et je me présente devant toi aujourd'hui pour mettre le peu que je sais au service de l'Archange Judith, et à ton service, capitaines des lames...

Wedge demeura songeur un long moment, semblant méditer sur les propos de Tzaleth... puis il interrompit son silence :

"Ta sagesse ne fait pas d'doute, ange Tzaleth. Et si tes propos sont vrais, il y a tout lieu d'penser que tu mérites la plus grande des attentions. Entre donc, afin qu'nous puissions étudier de façon plus précise ta candidature..."

Sois le bienvenu, Tzaleth.
Il me tarde de rencontrer le dépositaire d'une puissance aussi prestigieuse, bien que les événements récents se montrent peu propices à un voyage rapide de ma part.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 02/05/2006

Tzaleth s'inclina respectueusement devant Wedge

"Merci de votre confiance, capitaine Wedge. Je vous obéirai aveuglément, même si vous m'ordonnez de quitter ces lieux car je ne suis pas à la hauteur de vos espérances."

Puis il s'agenouilla en révérence, et dit à voix basse, afin que seul l'archange l'entende:

"Ariaké vous remercie, archange Judith. Je saurai vous servir et vous dédier mon immortalité".

Il se releva enfin, et entra dans le camp des Lames.